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PH 53 cherche à modifier ses portes ouvertes

Lors de l’assemblée générale de l’association Prim’Holstein 53, le président Benoît Aubry a annoncé les projets pour 2019.

Au micro, Benoît Aubry, président de PH 53, a annoncé son intention de passer la main.
Au micro, Benoît Aubry, président de PH 53, a annoncé son intention de passer la main.
© VG

« En avril, l’association va continuer la diffusion de top 10 ou du top 20 au niveau du département », annonce Benoît Aubry. C’est le classement des meilleurs élevages Hosltein du département (lire l’encadré) qui « permet aux éleveurs de se situer ». Au programme également en avril, le concours européen à Libramont (en Belgique). « Cette année, ce pourrait être le dernier concours européen, car il coûte cher. Il y a d’ailleurs de moins en moins de candidats » explique le président de PH53 tout en appelant à y participer. Sont aussi au calendrier le Space du 10 au 13 septembre et le concours départemental, le 9 novembre.

Quant au dernier projet dévoilé par le président, il concerne le mois de juin 2020. En projet : un voyage d’une dizaine de jours au Canada. « Si l’annonce est faite aussi tôt, c’est pour être sûr du nombre de billet afin de diminuer le coût. »

Enfin, Benoît Aubry est revenu sur les portes ouvertes, rappelant que cette journée, organisée actuellement tous les deux ans, « fait vivre notre association ». En août dernier, la journée a été quelque peu perturbée par les ensilages de maïs, avec « un peu moins de visiteurs que les autres éditions ». PH53 réfléchit à d’éventuels changements pour l’organisation de cet événement. « Tous les 2 ans ? Tous les 3 ans ? », interroge le président Aubry pour qui il est primordial de « maintenir le dynamisme des bénévoles, des partenaires, des jeunes du lycée, des visiteurs ».

 

 

 

 

 

 

Avec May’ and Cows

L’association des jeunes éleveurs mayennais de Hosltein poursuit ses projets. Parmi ceux-ci, tout d’abord l’initiation au clippage, vendredi 8 mars et samedi 9 mars, dans le cadre des portes ouvertes du lycée agricole de Laval.
Ensuite, du 29 au 31 mai, May’ and Cows espère « envoyer une équipe de 5 jeunes à l’interassociation de clippage et de présentation, lancé par Élevage Passion 28 », annonce Anne Darras. Un nouveau concours, appelé Young Team show qui se déroulera à Dampierre-sous-Brou (Eure-et-Loir) dans le cadre de la vente Origen +.
Enfin, est déjà programmée la visite d’exploitation. Ce sera le 15 juin, mais Anne Darras n’a pas souhaité en dire davantage pour l’instant…

Le Top 20 de 2018

Ce classement permet de mettre en avant les élevages mayennais. Les références sont prises sur 305 jours.

– Meilleur élevage en ISU. Le premier est l’Earl Dujarrier (Le Ribay) 155 points avec 83 vaches. L’élevage se classe 35e au niveau national.

– Meilleur en index morphologique : encore l’Earl Dujarrier (Le Ribay) avec 1,86 IMO (83 vaches).

– Note globale : le Gaec de Louverné (Chantrigné) : 86,3 (71 vaches).

– L’index de la santé des mamelles : l’Earl Dujarrier (Le Ribay) : 0,98 (83 vaches).

– Index de reproduction : Earl Dujarrier (Le Ribay) : 1,27 Ifer (83 vaches), le premier en France.

– Meilleurs élevages en lait brut : Antoine Garnier (Vaiges) : 11 115 kg (58 vaches).

– TP brut : « c’est la catégorie où il y a le plus de Mayennais dans le top 100 », commente Benoït Roussel, technicien PH. Le Gaec Menard (Saint-Pierre-sur-Erve) est 1er avec 33,7 (60 vaches). Il est 20e en France.

– Lait par jour de vie : 8 éleveurs dans le top 100 français. Le premier Mayennais est l’Earl Morel (Bourgon) : 14 000 kg de lait par jour de vie (35 vaches). Il se classe 33e dans le top 100 de France.

– Les meilleures vaches indexées en Mayenne : « ce sont des vaches génotypées pour les niveaux les plus élevés ». Mamas de l’Aulne du Gaec de l’Aulne à Loiron obtient 192 points d’ISU.

– La meilleure génisse en Mayenne est Oceane du Gaec de la Mulonnière à La Selle Craonnaise avec 219 points d’ISU. À noter que 14 des 20 classées sont issues du taureau Louxor.

– La grande laitière en 2018 est Sirene (issue de Gaiac et Fussy) de l’Earl de la Bouverie à Saint-Gemmes-le-Robert. Elle en est à 130 948 kg de lait pour 13 lactations.

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