Cuma
Les moissonneuses sont prêtes
Dans quelques jours pour les premières orges, puis dans un mois ou un mois et demi, pour le colza, le blé ou encore le triticale, les premières moissons débuteront. Dans les Cuma, les moissonneuses sont déjà prêtes, après avoir été bichonnées au cours de l’hiver. À la Cuma de Renazé, tout est en ordre de marche. Reportage.
Dans quelques jours pour les premières orges, puis dans un mois ou un mois et demi, pour le colza, le blé ou encore le triticale, les premières moissons débuteront. Dans les Cuma, les moissonneuses sont déjà prêtes, après avoir été bichonnées au cours de l’hiver. À la Cuma de Renazé, tout est en ordre de marche. Reportage.
« On est une petite coopérative, mais il y a ce qu’il faut en termes de matériels », depuis 2016. « Nous avons une ensileuse, trois tracteurs, dont un pour la débroussailleuse, un télescopique, cinq bennes, une autochargeuse, du matériel pour la fenaison, pour la récolte, pour les round-ballers... commente Franck Jugé, président. Plus tous les matériels pour le travail du sol (charrues, semoirs pour le maïs, le blé…), ainsi qu’un Big qu’on partage avec la Cuma des Éleveurs du Tremblay, à Ombrée d’Anjou, dans le Maine-et-Loire ». La flotte matérielle de la coopérative renazéenne est également composée d’une moissonneuse New Holland générant sept mètres de coupe, disposant de six secoueurs, pour une puissance totale de 280 chevaux. « C’est suffisant pour les récoltes qu’elle a à effectuer », explique Michel Blais, salarié de la Cuma de Renazé.