L’agriculture n’a pas de toit pour se protéger du climat !
Voilà deux mois que les médias relaient quotidiennement l’exceptionnelle pluviosité de l’été 2021. D’abord pour déplorer les inondations et crues dans certaines régions, qui n’ont heureusement pas entraîné les conséquences meurtrières et dévastatrices qu’ont connus nos voisins allemands et belges. Désormais, c’est le moral des Français qui est touché, le temps morose compromet les activités en plein air et la si attendue décompression estivale après des mois de restrictions…
Voilà deux mois que les médias relaient quotidiennement l’exceptionnelle pluviosité de l’été 2021. D’abord pour déplorer les inondations et crues dans certaines régions, qui n’ont heureusement pas entraîné les conséquences meurtrières et dévastatrices qu’ont connus nos voisins allemands et belges. Désormais, c’est le moral des Français qui est touché, le temps morose compromet les activités en plein air et la si attendue décompression estivale après des mois de restrictions…

L’urgence à gérer la continuité d’un quotidien décent pour les Français dans un contexte de crise sanitaire a fait un temps oublier que, comme disait Jacques Chirac, « la Maison brûle ». Avec cet été à forte pluviométrie, vecteur de déprime économique et psychologique, l’urgence à agir sur le dérèglement climatique se rappelle au « bon » souvenir de tous.