La Normande, « synonyme de responsabilité sociétale et environnementale »
Lundi 22 août, Albéric Valais, faisant valoir ses droits à la retraite, était remplacé par Corentin Delaunay, 32 ans, à la tête de l’Organisme de sélection de la race Normande. Le nouveau directeur nous partage ses ambitions pour la race, à quelques heures de la Saint-Grégoire à Ernée.
Lundi 22 août, Albéric Valais, faisant valoir ses droits à la retraite, était remplacé par Corentin Delaunay, 32 ans, à la tête de l’Organisme de sélection de la race Normande. Le nouveau directeur nous partage ses ambitions pour la race, à quelques heures de la Saint-Grégoire à Ernée.

Comment êtes-vous devenu le nouveau directeur de l’OS Normande ?
Corentin Delaunay : Je suis fils et petit-fils d’éleveurs de race Normande à Parigné, en Ille-et-Vilaine. Mon parcours s’est essentiellement effectué dans l’univers agricole. Ma première expérience notable s’est dirigée vers la dimension économique des exploitations. J’étais chargé de la construction de projets économiques au travers d’audits, mais aussi de projets d’installations et d’agrandissements pour une coopérative d’approvisionnement. Ma seconde expérience, avant de rejoindre la direction de la race Normande, s’est déroulée dans le monde de la génétique normande en tant que responsable du marché génétique race Normande France. Aujourd’hui, c’est avec grand plaisir que je rejoins la famille de l’OS Normande.
Quels sont vos objectifs et ambitions à court, moyen ou long terme ?