Justice
Intrusions dans les élevages de l'Ouest : les protagonistes également condamnés au civil
Après des condamnations au pénal, le tribunal civil s’est prononcé le 26 mars sur le sort des activistes animalistes pour des exactions commises dans l’Ouest. Résultat : les victimes ont eu raison de se défendre devant la Justice.
Après des condamnations au pénal, le tribunal civil s’est prononcé le 26 mars sur le sort des activistes animalistes pour des exactions commises dans l’Ouest. Résultat : les victimes ont eu raison de se défendre devant la Justice.

Le 28 janvier 2022, comparaissaient au tribunal du Mans (72) neuf activistes animalistes pour des faits d’intrusions, vols d’animaux, dégradations, menaces et insultes, perpétrés entre 2020 et 2021. Les méfaits avaient été recensés dans plusieurs exploitations d’élevage du Grand Ouest, de l’Eure au Finistère en passant par les Pays-de-la-Loire. En Mayenne, la Chambre d'agriculture ainsi que la FDSEA 53 avaient également été prises pour cibles de tags par une partie des prévenus. Le 31 mars 2022, le tribunal rendait son délibéré condamnant les six femmes et trois hommes à des peines de prison avec sursis allant de 4 à 10 mois pour certains, des heures de travaux d’intérêt général et des sanctions financières pour d’autres.
Après le pénal, le civil