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Frédéric de Pontfarcy, le « savoir-fer » du maréchal
Installé à Saint-Denis-du-Maine, au lieu-dit Le Bas Lucé, Frédéric de Pontfarcy fait partie de la quinzaine de maréchaux-ferrants exerçant en Mayenne. Auparavant artisan, entre 2015 et 2022, il propose aujourd’hui ses services sous le registre de l’activité agricole qu’il partage avec sa conjointe, éleveuse de volailles.
Installé à Saint-Denis-du-Maine, au lieu-dit Le Bas Lucé, Frédéric de Pontfarcy fait partie de la quinzaine de maréchaux-ferrants exerçant en Mayenne. Auparavant artisan, entre 2015 et 2022, il propose aujourd’hui ses services sous le registre de l’activité agricole qu’il partage avec sa conjointe, éleveuse de volailles.


Au mois de mars 2015, Frédéric de Pontfarcy s’installait sur l’exploitation de ses parents au lieu-dit Le Bas Lucé, à Saint-Denis-du-Maine. « J’ai commencé mon activité de maréchal-ferrant en tant qu’artisan. Au bout de sept ans, je l’ai greffé sur l’activité agricole de l’exploitation. Depuis le 1er avril 2022, je ne suis techniquement plus artisan sur le plan légal, mais toujours maréchal-ferrant évidemment », contextualise-t-il. La profession, qui compte une quinzaine d’adeptes en Mayenne, est enseignée à l’AgriCampus Laval. « Je suis entré dans la maréchalerie parce qu’en premier lieu, je suis amoureux des chevaux. J’ai toujours voulu faire ça. Quand le maréchal-ferrant venait à la maison, quand j’étais petit, j’étais passionné par le travail du fer. Je pense d’ailleurs qu’on ne devient pas maréchal-ferrant si on n’est pas passionné dès le plus jeune âge », affirme-t-il.
Cursus entre agriculture et maréchalerie