Dossier viande bovine
Engraissement : « On a gagné une trentaine de jours »
Engraisseur de jeunes bovins au lieu-dit Le Haut Fay à Château-Gontier-sur-Mayenne, Jérôme Robieux est membre depuis cet été d’un groupe « engraissement » proposé par la coopérative Seenovia. Un groupe qui lui permet de travailler sur la partie économique de son activité. Explications.
Engraisseur de jeunes bovins au lieu-dit Le Haut Fay à Château-Gontier-sur-Mayenne, Jérôme Robieux est membre depuis cet été d’un groupe « engraissement » proposé par la coopérative Seenovia. Un groupe qui lui permet de travailler sur la partie économique de son activité. Explications.
Au Gaec des Étangs, les deux frères associés, Mickaël et Jérôme Robieux, se sont spécialisés depuis une dizaine d’années en engraissement de jeunes bovins / taurillons. « Sur la ferme, nous n’avons pas de naissance. C’est 100 % engraissement », indique Jérôme. Leur exploitation présente 180 ha de SAU, dont 60 ha de maïs, 110 ha de céréales (blé, orge, colza, triticale) et 10 ha d’herbe. En termes de cheptel, « nous avons 330 places d’engraissement et nous vendons environ 380 animaux par an, en moyenne », précise-t-il. Uniquement des jeunes bovins, de toute race ou presque. « Nos taurillons sont majoritairement croisés. Pour la plupart, ce sont des croisés Charolais et Salers.