Agronomie
Désherbage du colza : comment innover pour protéger les eaux ?
Jeudi 16 octobre, la Chambre d’agriculture des Pays de la Loire organisait une journée de démonstration sur une parcelle Michel Jaguelin, agriculteur au lieu-dit Les Miaules à Livré-la-Touche. Sur place, il fut question d’innovation : comment protéger les eaux avec des alternatives pour le désherbage du colza ? Le tout, sans métazachlore…
Jeudi 16 octobre, la Chambre d’agriculture des Pays de la Loire organisait une journée de démonstration sur une parcelle Michel Jaguelin, agriculteur au lieu-dit Les Miaules à Livré-la-Touche. Sur place, il fut question d’innovation : comment protéger les eaux avec des alternatives pour le désherbage du colza ? Le tout, sans métazachlore…



En partenariat avec le Syndicat du bassin de l’Oudon, le Département de la Mayenne et le réseau Phyt'eau propre 53, la Chambre d’agriculture des Pays de la Loire, via son antenne mayennaise, invitait les professionnels agricoles à une demi-journée de démonstration, jeudi après-midi 16 octobre, de 14 h à 17 h. Après une rapide introduction par Jules Giraudet, animateur du réseau Phyt'eau propre 53 et Infiltr'eau 53, Delphine Prévot, ingénieure qualité de l'eau au Syndicat du bassin de l’Oudon, a effectué une présentation de la qualité de l’eau sur le captage de l'Éperonnière, à Livré-la-Touche, et est revenue sur la problématique du métazachlore. « Le métazachlore est une molécule toujours autorisée, a-t-elle précisé. La réelle problématique date d’il y a quelques années et se situe au niveau de l’ESA métolachlore, une des molécules de dégradation du métolachlore ».
Pas d’affolement, mais, vigilance