Lely
Depuis les robots de traite : une production quasi doublée
Vendredi 8 décembre, entre 10 h et 17 h, le Gaec des Hauts Mortiers (Désertines) accueillait ses premières portes ouvertes. Des portes ouvertes organisées par Lely, entreprise chez laquelle Stéphane et Vincent Leroyer se sont fournis en robots de traite.
Vendredi 8 décembre, entre 10 h et 17 h, le Gaec des Hauts Mortiers (Désertines) accueillait ses premières portes ouvertes. Des portes ouvertes organisées par Lely, entreprise chez laquelle Stéphane et Vincent Leroyer se sont fournis en robots de traite.

Stéphane et Vincent Leroyer, les deux cogérants du Gaec des Hauts Mortiers à Désertines, ne feraient marche arrière pour rien au monde. Sur leur exploitation laitière de 130 ha, dont 55 ha de blé-orge, 55 ha de maïs et le reste en prairies, ils ont investi dans deux robots de traite Lely A5, en juin 2021, leur permettant de quasiment doubler leur production de lait. « En ce moment, nous avons 1,2 million de litres de lait en droit à produire, avec 110 à 115 vaches laitières, toutes de race Prim’Holstein. Avant l’installation des deux robots de traite Lely, nous étions à 700 000 litres. Sans cet investissement, on ne se serait pas agrandi comme on l’a fait », affirme Stéphane Leroyer.
Un repousse fourrage en réflexion
Après l’achat des deux robots de traite A5 il y a deux ans et demi, Stéphane et Vincent Leroyer envisagent dans les années à venir de se fournir à nouveau chez l’entreprise néerlandaise pour d’autres matériels. « Le prochain sera sûrement un repousse fourrage, le Juno. Mais pour le moment, on ne pense pas investir dans un Vector (le robot d’alimentation de chez Lely, NDLR) », confie Stéphane Leroyer. « Étant donné qu’on a un système sur aire paillée, c’est difficile d’installer un aspirateur à lisier. On verra quand les racleurs seront fichus », complète Vincent Leroyer. Pour lui, ces premières portes ouvertes - « un peu stressantes au niveau organisationnel », reconnaît-il - étaient aussi l’occasion de présenter le Gaec des Hauts Mortiers et d’échanger avec d’autres professionnels sur les atouts d’un robot de traite. « Techniquement, les deux robots de traite ont nettement fait progresser l’exploitation et apportent du confort au niveau des astreintes », assure l’éleveur laitier.