Cidriculture
Défense du cidre français : la vigilance s’impose
Jeudi 22 juin, Valérie Hayer, députée européenne, était conviée par Denis Rouland, cidriculteur à Andouillé, et Stéphane Guioullier, président de la Chambre d’agriculture de la Mayenne, à la Maison des agriculteurs de Changé pour parler défense du cidre français.
Jeudi 22 juin, Valérie Hayer, députée européenne, était conviée par Denis Rouland, cidriculteur à Andouillé, et Stéphane Guioullier, président de la Chambre d’agriculture de la Mayenne, à la Maison des agriculteurs de Changé pour parler défense du cidre français.


La défense du cidre français et le projet de normes de commercialisation européennes étaient au menu des échanges entre Valérie Hayer, Denis Rouland et Stéphane Guiouillier, jeudi 22 juin à la Maison des agriculteurs, à Changé. Pour les cidriculteurs français, la vigilance s’impose. Le problème ? « Il existe des écarts très importants au sein de l’Union européenne entre les produits dénommés cidre (ou « cider » en anglais), d’un pays à l’autre. Ces écarts se sont mis en place historiquement, la plupart des États membres n’ayant pas de réglementation spécifique sur le cidre », a contextualisé Denis Rouland.
Cidre vs « Cider » : trop de confusion